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Yakushima a écrit :
J'ai suivi Sensei Kase pendant de nombreuse années jusqu’a son dernier stage et pour mois cela étais un vrai bonheur de m’entrainer avec se grand Sensei et de ne pas avoir quitté le navire comme de nombreuse personnes qui aujourd’hui se revendique assistant ou élève de Sensei Kase.
Tout à fait d'accord. Quand j'ai commencé le karaté en France, il n'avait plus beaucoup de monde autour de lui effectivement. Parmi les sempais de l'époque se trouvait Daniel Lautier.
En ce qui concerne les problèmes qu’il a rencontré je suis conscient que cela n’a pas été facile pour lui et sa famille, mais il a partagé son art et sa culture car il était japonais, et qui mieux qu’un japonais ayant vécu et étudié le karaté au japon peut nous transmettre cela.
Faut il être japonais? Faut il être français pour être professeur de boxe française? 9a n'est pas parce que , on est japonais que l'on comprends mieux mais parce que l'on a pratiqué de certaine façon.
Je pence que la JKA en France est peu développée par rapport a nos voisin Allemand par exemple. Si la FJKA avait a sa tête un Sensei japonais cela donnerai une autre grandeur et pourrais peut être nous sortir de ces confits franco français.
C'est vrai.
Autrefois, l'assistant de Kase sensei s'appelait Kenji Tokitsu.
Pour terminer, j’aimerais savoir quelle est le véritable problème au sein de l’école Shotokan en France qui aujourd’hui, ne rend pas les japonais désireux de venir s’installer en France alors que dans certains styles, cela n’a pas l’air de poser un véritable problème.
Il faut bien faire la différence entre "violence" et "budo". Lorsque l'on voit dans quelles conditions Kase sensei à finit ses derniers jours. On peut le comprendre. Nous les français ne savons pas ce qu'est le respect. En "budo" c'est un dévouement total. Ca n'est pas aller à un entraînement et dire merci et au revoir. Si ses élèves avaient vraiment compris le karaté, ils seraient vraiment rester près de leur maître jusqu'au bout même s'il ne pouvait plus enseigner. les sempais auraient dû se mobiliser et rassembler des fonds pour soutenir leur maître. Au Japon, on dit aussi "OYAJI" (mon père).
Sommes nous plus prêt maintenant à recevoir un "sensei" à qui on va dire que ses grades et diplôme ne sont pas reconnus en France. Les senseis japonais que je connais n'en sont pas convaincus et moi non plus.
Pour ceux que ça interesse voici l'adresse du site web dédié à la mémoire de Sensei Kase créé par sa fille : http://www.senseikase.com/
BRAVO POUR CE SITE ET JE VOUS RAPPELLE QUE TRADITIONNELLEMENT VOUS DEVEZ CONTINUER D'HONORER L'EPOUSE DE KASE (prononcez d'abord "kassé" et non "kazé" correctement) SENSEI COMME VOUS AURIEZ DU LE FAIRE ET DE QUELQUE FACON QUE CE SOIT. C'EST CA LE KARATE.
C'est vrai.
Autrefois, l'assistant de Kase sensei s'appelait Kenji Tokitsu.
Il faut bien faire la différence entre "violence" et "budo". Lorsque l'on voit dans quelles conditions Kase sensei à finit ses derniers jours. On peut le comprendre. Nous les français ne savons pas ce qu'est le respect. En "budo" c'est un dévouement total. Ca n'est pas aller à un entraînement et dire merci et au revoir. Si ses élèves avaient vraiment compris le karaté, ils seraient vraiment rester près de leur maître jusqu'au bout même s'il ne pouvait plus enseigner. les sempais auraient dû se mobiliser et rassembler des fonds pour soutenir leur maître. Au Japon, on dit aussi "OYAJI" (mon père).
Faut il être japonais? Faut il être français pour être professeur de boxe française? 9a n'est pas parce que , on est japonais que l'on comprends mieux mais parce que l'on a pratiqué de certaine façon.
Merci pl pour cette information très intéressante qu'il faudrait faire passer à beaucoup de personnes et sites web, notamment à la fille de Kase Sensei qui est l’auteur du site www.senseikase.com ainsi que celui de la FJKA (voir http://www.francejka.com/article.php3?id_article=2).
Mon point de vue sur ce sujet, en prenant l’exemple de la boxe française enseigné à l’étranger. Le français apportera avec lui sa culture comme le japonais le ferait en venant enseigner le karaté-do en France.
Prenons un autre exemple dans le milieu de la gastronomie, lors d’un diner dans un restaurant japonais, ne préférons nous pas avoir un repas préparer par un chef japonais, et réciproquement.
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