par Shûgyôsha » Ven Fév 19, 2010 1:50 am
Et bien, les collègues du "Kyokushin", je compatis...
En ce qui nous concerne, les "Shôtôkan" ("Shôtôkaï"?), pour ce qui est des malversations politiques, on fait figure d'aimables apprentis amateurs de plaisance... Et pourtant, j'étais persuadé que l'on avait déjà un sacré bon niveau...
Oyama, Funakoshi, Miyagi, Uechi, .... L'ampleur des nobles ambitions de leurs oeuvres respectives aura été trop importante par rapport à leur longévité...
Il nous revient, à chacun d'entre les -ni trop jeunes, ni trop anciens- disciples de ces écoles majeures, de remettre parfois en question ce que nous croyons suivre comme méthode (avérée ou prétendue) originaire d'un "style" ou d'une "ryu".
Finalement, la meilleure place, c'est celle des élèves qui ne se posent pas torp de questions ("Shoshin wo wasurezu" : ne jamais oublier la fraîcheur d'esprit du débutant).
Amicalement.
Oss !