Combat en competition et karate; grand dileme

[Nerevar]

Salut a tous.en etudiant de plus pres les Am j'ai constate une chose, qu'ils ne sont pas retissants au combat a forme libre.alors que la karate si (meme kyokushin) doncc je vouidrai savoir: pourquoi mettant toujours des hadicapes ds le combat de karate car je remarque une chose :
-Soit c's en sundome (Tradionel ou sportfi pour les styles tradionelles).
-Soit il ya une interdiction (Kyokushin) frapper au visage avec les mains.
Les principale raison que donne les gens generalement est:
-On ne porte pas de protactions (gants,plastrons etc).
-Nos voulons pas massacrer la sante de nos prtiqaunts.
-C'est sport de control.
-Nous ne sommes p)as ds brutres agressives.
C'est raisons sont quelque peu valables, mais ont voit tres bien d'auters am ayant regler ce problem en mettant des gants et des proteges dents.
Alors pour quoi le karate na pas appliquer cette forme???

[Nobunaga]

Si je peux me permettre de te répondre. Personellement, je pratique le Shotokan, donc le Sundome Kumite. Tant le Jissen que le Sundome ont leurs avantages et leurs inconvénients.

Pratiquant donc le Sundome, j'ai moi même quelques lacunes. Le fait de ne jamais prendre en compte la pression que l'adversaire peut exercé avec ses poings, je me relâche et pas plus tard qu'il y a deux jours, une ceinture blanche m'a touché à la lèvre, chose qui ne serait jamais arrivé (enfin je crois ...) avec une autre ceinture noire, étant donné que ceux-ci ont me touchent (toucheraient ?) au visage mais avec contact léger.
L'avantage du Sundome ou plutôt le but je pense, est le contrôle de la technique à chaque millimètre. Je pense qu'il est beaucoup plus facile de laisser partir le coup que de le retenir.
Un truc que j'entends souvent aussi : 'Oui mais tu retiens ton coup donc ça sert à rien'. En fait, chez nous, et chez beaucoup d'autres, on ne retient pas le coup. On essaye de mettre un maximum dedans et le bras est déplié à 100%. Seulement avant de lancer le bras, on part d'une position, d'une distance qui ne blesseras pas le partenaire, ou qui ne le touchera que légèrement.

Autre chose, mettre des gants ne propose pas que des avantages AMHA. Même si le poignet n'est pas assez solide lors d'un Tsuki, avec un gant le coup passe, et le poignet subit moins de dommage. Dans la réalité, un poignet 'cassé', et c'est le cas de le dire, ben voila quoi ...


Au japon, il y'a un dojo dans lesquel je m'entraînais qui n'utilisait pas de gants à proprement parler, mais des 'mousses' pour les métacarpiens. Les touches Jodan s'éffectuaient soit sur le front, soit en dessous du coup. Enfin bref ...

Pour le Jissen je laisserai parler les Kyokushinka,


+

[Nerevar]

Repopnses tres interessentesMias cella ne repond pas totellment a mes questions do,t la principle est :
Quelle est l'origine de cet etat d'esprique de faire du non contact u d'nterdire bine des technique (saisies , projection,coups de pieds bas) alros qu'ils font, partie de l'arsenal technique?

[Shoto]

A mon avis, l'origine de ce phénomène est le sport...
Le combat sportif impose de définir des règles d'engagement extrèmement précises...

[karatejapon]

Pour répondre simplement, sans interdiction, les combats seraient généralement très courts et sanglants.
C'était le cas dans les années 1950 comme nous l'a expliqué Kase Taiji Sensei. Suzuki Tatsuo Sensei en a aussi parlé dans un de ses ouvrages.
Pour trouver une pratique totalement débridée où tout est autorisé et donc les blessures - parfois graves - fréquentes, il faut se tourner vers le taikiken de feu Sawai Kenichi Sensei. Ce dernier avait d'ailleurs pris ses distances avec Oyama Masutatsu Sôsai car trouvant les règles Kyokushinkai trop restrictives...
Il semble que Maître Satô, son successeur, considère pour sa part que des règles sont nécessaires.
Donc, tenter d'imposer une pratique à caractère sportif est impossible si trop violente aux yeux du grand public.

[Shintora]

Pour trouver une pratique totalement débridée où tout est autorisé et donc les blessures - parfois graves - fréquentes, il faut se tourner vers le Taikiken de feu Maître Sawai.

J'ai toujours penser qu'il s'agissait d'une forme énergitique privilégiant la santé avant tout. Si j'ai bien compris le taikiken est une forme dure, de par ses opposition et son entrainement alors? Quid des ses origines?


Pour revenir au sujet, je pense qu'il faut impérativement pratiqué le sundome la majeure partie des entrainements afin de justement pouvoir continuer à s'entrainer sans être constament en convalescence.

Ensuite il parait interressant de travailler quelque séances par mois avec un plein contact sur les zones ne comportant pas de points trop vulnérable.

Par exemple nous travaillons en sundome avec notre maître dans les cours qu'il assure, puis dans la semaine avec les sempai consentant notament, nous travaillons plus virilement lors des autres entrainements à caractère libre.

La compétition ayant un caractère sportif il me semble normal qu'elle soit régulé par certaines régles.
Quant à savoir si certaine règle devrait etre adopté ou non, peu importe au final, car rien n'empeche de pratiquer le karate, art martial, et si l'on aime les sports de combats de pratiquer celui qui nous semble le plus proche de notre conception du combat arbitré, par exemple karate et boxe thaie ne me semble pas incompatible.
A condition bien sur de dissocier pleinement les buts et investissements pour chacun.

[karatejapon]

Erreur donc quant au taikiken, à ne pas confondre avec certaines formes de taijiquan aussi nommé taikyokuken, d'où de fréquentent méprises.
Cela dit les aspects énergétiques et santé de cet Art Martial existent, bien entendu.
Les origines sont chinoises, pays où son fondateur a étudié.

[Nerevar]

Je prends note.
Quelque autres questions:
-Donc a une epoque (1950) y'avait des combats suepr libre avec tout c ca ????
-Si c'est pour le caractere sportif,pourquoi avor developper une pratique sundome a leiu d'un pratique avec gants classique.
-Pourqoi ne pas autorise les saisies projection et coups de geou coude, alors qu'ils ont existants en karate???

[Shoto]

Jon Bluming affirme que dans l'immédiat après-guerre tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un combat était prohibé... Si combat il y avait, cela devait être clandestin ---> d'où peu de renseignements sur ce qui se faisait à l'époque au niveau kumite.

Le travail avec gants classique n'a pas été retenu selon moi car il n'empêche pas de se faire ravaler la façade... On a privilégié l'obligation de contrôler, avec introduction plus tard de mitaines.