karatejapon a écrit :la pratique restera notre langue commune.
Tout à fait ! Je me rappelle de mon premier entraînement au
hombu dôjô de la JKA, où je me suis rendu avec une certaine appréhension, car j'étais seul, ne connaissais évidemment personne, et ne disposais pas même d'une recommandation. Eh bien, tout cela a disparu sitôt le salut effectué, car je me suis retrouvé dans mon élément. Nul besoin de comprendre ce que disaient les instructeurs : leurs gestes parlaient d'eux-mêmes.