Nous n'avons entendu parler que d'un dôjô de Shotokan karatedô au sein d'une usine avec dortoir pour le personnel, dans la région d'Ôsaka.
Il en existe certainement d'autres mais ce n'est visiblement pas la norme.
On trouve plutôt les pratiquants ayant du temps pour s'entraîner au sein des professions libérales, des travailleurs indépendants et des personnes travaillant en horaires décalés.
Je travaille dans une compagnie aérienne et me rends au moins une fois par mois au Japon pour mon travail ou pour convenances personnelles (congés ou même courts séjours pour des occasions particulières).